Archives de catégorie : Medias Sociaux

j’adore Facebook !

Facebook_like

L’apparition de Facebook et de son bouton Like a développé une nouvelle forme de culture:  le « J’aime » ou « Like » si vous préférez.

En effet, la multitude d’articles, de vidéos, d’extraits audio diffusés ne peut plus de nos jours apparaitre sans une flopée de clics sur ces fameux boutons.

Mais l’effet est tout à fait pervers, car au détour de lecture des dits articles on constate bien souvent que cette frénésie du Like n’est liée bien souvent qu’à la lecture du titre de l’article (souvent bien racoleur).

Alors, voici donc en fait le simple but de cet article (celui que vous lisez là vous qui prenez ce temps):
A la fin de la lecture de cet article, ne cliquez surtout pas sur Like pour signifier que son contenu vous a paru juste à propos mais laissez plutôt un petit commentaire en dessous. Ainsi, vous comme moi, nous allons pouvoir très rapidement nous rendre compte de nos contacts qui ne s’arrêtent qu’aux gros titres (prions pour qu’il n’y en ai aucun ..)
Merci à vous pour cette lecture.

Pascal Peejee

Samoussas maison

pour un paquet de 8 feuilles de brick :

2 carottes
échalote ou oignons
1 gousse d’ail
1/4 de paquet de vermicelle de riz
200 gr de steack haché
curry – piment doux ou fort – sel – poivre
1 barquette de coriandre fraîche

1) couper très fin les légumes et les faire blondir dans huile d’olive
2) mettre à cuire 3-4 mn le vermicelle dans eau bouillante (il doit rester ferme, il faut donc surveiller la cuisson et le rincer à l’eau froide dès la fin de cuisson)
3) ciseler la coriandre
4) une fois cuits mettre les légumes dans un saladier (pour arrêter la cuisson)
5) ajouter curry -piment – sel – poivre – coriandre
6) couper grossièrement le vermicelle (afin de mieux le mélanger aux autres ingrédients) et le mettre dans les légumes ainsi que le steack haché cru
7) bien mélanger l’ensemble

8) empiler les feuilles de brick et les couper en deux
plier en deux chacun des demi-cercles afin d’obtenir 16 bandes sur lesquelles il faut répartir la farce sur l’extrémité des bandes
imgres
ne pas hésiter à « serrer le pliage ». et utiliser simplement de l’eau pour coller.

9) badigeonner d’huile d’olive la surface des samoussas, les poser sur du papier sulfurisé et cuire au four à 200° environ 25 mn (ne pas faire trop brunir)

(Recette de Florette)

Comment trouver du travail ?

Le père : Je vais te marier avec une fille de mon choix !
Le fils : NON !
Le père : C’est la fille de Bill Gates !
Le fils : Alors OK !!

Le père va rencontrer Bill Gates :
La père : Je veux que votre fille soit la femme de mon fils !
Bill Gates : NON !
Le père : Mon fils est le C.E.O. de la Banque Mondiale !
Bill Gates : Alors OK !

Le père va voir le PDG de la Banque Mondiale :
Le père : Je veux que mon fils soit le C.E.O. de la Banque Mondiale !
Le PDG : NON !
Le père : C’est le mari de la fille de Bill Gates !
Le PDG : Alors OK !

Comment-trouver-du-travail

Patachou : 96 ans, celle par qui Georges Brassens nous est arrivé !

Patachou : 96 ans, celle par qui Georges Brassens nous est arrivé !

« Georges Brassens a eu la chance de croiser ma route, lui a eu la chance de croiser la mienne à un moment ou il ne chantait pas »

En parlant de Georges Brassens : « J’ai surtout vu qu’il était beau quand il est arrivé, et j’ai dit je ne sais pas comment il est fait celui-là mais dieu qu’il est beau ! et puis on a écouté 10, 20, 30 merveilles. Et je lui ai dit : eh ben voilà, alors moi je vais vous chanter « Les amoureux des bancs publiques », « brave Margot » çà c’est sûr et puis vous vous allez chanter le reste parce que personne d’autres ne chantera vos chansons, ya que vous qui puissiez les chanter. Lui il a dit « je suis pas chanteur, je suis pas chanteur ! » je lui ai dit « vous le serez ! » et c’est parti comme çà. Mais je n’ai pas découvert Georges Brassens, nous sommes rencontrés »

Est-ce que le métier vous manque ?
« Oui !!!, ah vous plaisantez, on ne décroche pas de çà ! »

Merci à Damien Thevenot pour cet interview sur France2.

Patachou

Désolé

Chères générations futures

Je pense que je parle avec le reste d’entre nous quand je dis : désolé.
Désolé , de vous laisser notre planète complètement massacrée.
Désolé, d’avoir été trop engagés dans nos propres vies pour faire quoi que ce soit.
Désolé, d’avoir écouté des personnes qui sortent des excuses pour ne rien faire.
J’espère que vous nous pardonnerez de ne jamais pouvoir voir comment notre Terre était si unique.
C’est comme un mariage qui tourne mal, nous ne savions pas ce que nous possédions avant de le perdre.
Par exemple : je suppose que vous avez déjà entendu parler du désert d’Amazonie, pas vrai ?
Croyez-le ou non, fut un temps où ce désert était appelé la forêt d’Amazonie.
Il y avait des millions d’arbres tous magnifiques.
Euh ?
Vous ne savez pas ce que sont des arbres ?
Les arbres étaient incroyables, nous respirions littéralement l’oxygène qu’ils créaient, ils nettoyaient notre pollution, notre carbone, ils collectaient et purifiaient notre eau nous permettaient de créer des médicaments qui nous soignent, de la nourriture qui nous nourrit.

C’est pourquoi je suis tellement désolé de vous dire ça : nous avons brûlé tous les arbres, nous les avons tous coupés avec des machines abominables et horribles avec un taux de 40 terrains de foot par minute, 50% des arbres de la planète ont disparu ce dernier siècle.

POURQUOI ?
Pour ça.

Et je ne serais pas si triste s’il n’y avait pas autant de représentants de la vie dessus.
Quand je n’étais qu’un enfant, j’ai lu comment les Etats-Unis avaient une telle considération pour la Planète, ils se sentaient responsables de son avenir et pour les « 7 prochaines générations ».
C’est ce qui me fait de la peine car la plupart d’entre nous aujourd’hui n’en n’ont rien à faire de demain.
C’est pourquoi je suis désolé. Je suis désolé qu’on privilégie le profit par rapport aux humains, la cupidité par rapport au besoin, l’argent par rapport à la vie.
Je suis désolé, désolé que nous utilisions la Terre, telle une carte de crédit sans limite.
Tous ces animaux qui disparaissent, réduisant à néant vos chances de les découvrir ou même de devenir leurs amis.
Désolé d’avoir tellement empoisonné nos océans que vous ne pouvez même pas vous y baigner.
Mais je suis principalement désolé de notre état d’esprit, pour avoir appelé toute cette destruction :

LE PROGRES;

Hey Fox news, vous ne pensez pas que le réchauffement climatique est une menace ? Alors allez interviewer les milliers de SDF de Bangladesh. Pendant que vous êtes chez vous avec vos animaux de compagnies, ils sont littéralement sous les eaux à ne plus voir leurs pieds à cause de la montée des eaux.

Hey Sarah Palin, vous avez dit que vous adorez l’odeur des combustibles fossiles ? Allez donc parler aux enfants de Pékin qui sont obligés de porter des masques pour simplement se rendre à l’école.
Vous pouvez ignorer ça mais la vérité est telle que vous pouvez négliger tout ça mais pas l’éviter.
Je suis donc désolé pour nos générations futures, je suis désolé que notre empreinte carbone fasse un trou dans notre atmosphère plutôt que dans notre jardin, je suis désolé qu’on prête tant d’attention pour l’ISIS et seulement un tout petit peu pour la fonte des glaces.
Je suis désolé d’avoir fait ça et je suis désolé de ne pas avoir assez de temps pour pouvoir coloniser une autre planète.
Je suis …

VOUS SAVEZ QUOI ?

Coupe la musique … je ne suis pas désolé.
Ce futur je ne l’accepte pas parce qu’une faute ne devient pas une erreur à part si vous refusez de corriger cette faute.
Nous pouvons rediriger tout ça.

COMMENT ?

Laissez-moi vous suggérer ceci : si un fermier veut savoir si son arbre est en bonne santé il ne va pas juste regarder les branches pour le diagnostiquer, il regarde ses racines.
Faisons comme eux, nous devons regarder les racines et non les branches du gouvernement et des politiciens qui sont gouvernés par des entreprises.
Nous sommes les racines. Nous sommes les fondations. C’est à notre génération de prendre soin de la Planète, c’est notre seule maison.
Nous devons réchauffer nos coeurs, changer le climat à l’intérieur de nos âmes, réaliser que nous ne sommes pas séparés de la nature, mais une partie de la nature.
Quand la Terre est trahie, les hommes le sont aussi. Sauver la planète c’est aussi sauver les hommes.
Peu importe pour quoi vous vous battez : racisme, pauvreté, féminisme, homosexualité ou n’importe quel type d’égalité, ça n’a pas d’importance au final.
Parce que si nous ne travaillons pas tous ensemble pour sauver l’environnement, nous serons tous ensemble disparus.

Désolé

 

(Prince EA)

 

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